| | (alaric) ›› this could be the last mistake.Hope is stronger than Fear | |
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| Sujet: (alaric) ›› this could be the last mistake. Dim 5 Avr - 19:03 | |
| alaric moriarty .feat norman reedus « we'd lie awake but dreaming 'til the sun would wash the sky. » | Nom : moriarty, un nom qui n'est absolument pas connu dans ce monde et ce n'est sans doute pas lui qui fera un jour en sorte de lui donner un peu de renommée. ● Prénom : alaric, un prénom simple mais efficace, mais beaucoup se contentent de l'appeler simplement ric' ; un surnom comme un autre sur lequel il n'a rien à redire. ● Age : quarante-six ans, il a déjà fait un bon bout de chemin, il considère avoir plus d'années de vie derrière lui que devant lui. ● Niveau de vie : pauvre, il est né dans une famille d'ayant pas grands moyens et il n'a jamais réussi à s'élever en dehors de cette classe sociale. ● Occupation : mineur, comme son père avant lui, il y a fort à parier que s'il avait eu un fils, il serait également mineur. ● Lieu de résidence : il vit dans le district pashmilla, il y a toujours vécu. ● Statut : il est célibataire, sa petite amie à récemment rompu avec lui, il n'était pas assez bien pour elle. ● Orientation Sexuelle : hétérosexuel , il n'a jamais été attiré que par les femmes et pourtant les femmes l'ont toujours conduit au malheur. ● Groupe : i endure. Caractère ● dynamique ● résigné ● franc ● impatient ● réaliste ● lunatique ● attentif (au moins avec ses proches) ● râleur ● mature ● rancunier ● Dans quel camp se range votre personnage et pourquoi ? Aucun en particulier, ou celui de ceux qui on appris à subir tout en fermant leurs gueules. Il a conscience que le monde n'est pas idéal, que le gouvernement est corrompu, mais toute sa vie, il a eu des objectifs plus importants qu'un combat parfaitement vain. Réaliste, il sait que quoi qu'il fasse, ça ne changera pas grand chose. Il a toujours préféré privilégier sa fille et ses besoins ainsi que ceux de son petit fils. Sa famille est ce qu'il y a de plus important pour lui et il a choisi de la privilégier au détriment d'autres choses peut-être, mais qu'importe, il le vit bien. Comment votre personnage se perçoit-il lui-même, quelle est son opinion de lui-même ? Comment les autres perçoivent-ils votre personnage ? Sans doute qu'on le voit comme le gros reloud du coins qui à l'air de se foutre de tout, un mec sans opinion qui se fiche du sort des autres. Est-ce vraiment ce qu'il est ? Peut-être. De son point de vu à lui, il n'est qu'un type comme un autre qui fait de son mieux pour survivre dans ce monde et qui fait tous les sacrifices possibles pour sa famille. C'est vrai, peut-être que le reste du monde, il s'en fiche dans le fond. Il a choisi ses priorités. Ce qu'il sait en tout cas, c'est qu'il est le genre d'homme qui ne laissera jamais tomber sa famille, alors qu'on le traite de vieil égoïste dans son dos, c'est bien le cadet de ses soucis. Quelle est la chose dont votre personnage a le plus honte ou sa plus grande peur ? Sans doute que sa plus grande peur est celle de perdre sa fille et son petit-fils. Il estime avoir déjà perdu suffisamment de personnes dans sa vie jusqu'à présent pour ne pas les perdre eux aussi. Non, ils sont encore jeunes et en bonne santé, alors s'il faut encore enterrer quelqu'un dans la famille ce sera lui. Les perdre représente sa plus grande crainte, il ne sait pas comment il pourrait vivre dans un monde dont ils ne feraient plus parties. Sa propre mort ne lui fait absolument pas peur en revanche, mais la leur le terrifie, il estime qu'il est logique qu'il soit celui à partir en premier. Quels sont ses rêves, ses motivations, ses buts ? Plus jeune, il rêvait de devenir dresseur Pokémon, mais il n'est pas né dans la bonne famille. Il s'est retrouvé mineur, tout comme son père et père de famille à l'âge de vingt ans, contraint d'élever sa fille alors que sa petite amie est morte en couche, Alaric a cessé de rêver aux absurdités de sa jeunesse. Il a cessé de rêver tout court. Son but dans la vie était d'offrir la meilleure vie possible à sa fille, de l'aider à accomplir tout ce que lui il a été incapable de faire, mais il a échoué. Aujourd'hui à quarante-six ans et une bonne dose de lassitude, il n'a plus vraiment de projets ou de motivation, il se contente de vivre sans se poser de questions sur l'avenir. SALAMECHE ● ORESTEAlaric n'avait pas prévu de se retrouver un jour avec un pokémon, il rêvait pourtant, quand il était jeune de devenir dresseur pokémon. Un rêve futile qu'il ne réalisera jamais. Longtemps, il a observé les pokémons de loin, rêvant d'en avoir, mais sachant que ce n'était pas dans ses moyens. Il en a pourtant acheté un à sa fille, grosse dépense mais c'était censé s'arrêter là. Pourtant un jour, il a rencontré Korra, la femme ayant changé beaucoup de chose dans sa vie. Oreste est un cadeau qu'elle lui a fait. Elle avait les moyens de payer ce qu'elle voulait et séduite probablement par son histoire de garçon aux rêves brisés, elle a voulu faire un geste et voilà qu'elle lui ramène un Salamèche. Oreste de son nom. Un nom choisi par Beth sa fille, lui étant incapable de trouver mieux que machin. Oreste est devenu un compagnon fidèle venant combler la solitude dans laquelle Alaric se plonge trop souvent. C'est devenu une présence familière dans sa petite maison trop souvent vide. Maintenant que Korra n'est plus qu'une histoire appartenant au passé, il est devenu le symbole d'une histoire révolu, le souvenir d'une aventure à laquelle il continu de s'attacher. C'est un compagnon fidèle auquel il s'est très vite attaché, derrière ses allures de vieux rabougris du coin, il est très attentif à son pokémon, qui - d'après lui - vaut mieux qu'un grand nombre de personnes dans cette ville. |
histoire « Si c’est une fille, Elizabeth. » Un sourire étira les lèvres du jeune homme qui arqua un sourcil avant de poser sa main sur le ventre bien arrondi d’Annie. Qui aurait cru qu’ils en arriveraient là ? Certainement pas lui, si des années plus tôt, on lui dirait qu’il serait sur le point d’être père et qu’il était fiancé à son amie d’enfance. Il se souvenait bien des jeux d’enfants qu’ils avaient pu partager et combien de fois est-ce qu’ils avaient crié haut et fort qu’ils deviendraient dresseurs Pokémons. Ils avaient ce rêve de gamins tous les deux, l’envie folle de partir un jour à l’aventure, à la conquête d’un monde qui les faisait rêver. Ils n’étaient jamais partis et ils ne partiraient jamais. Encore bien jeune, il avait décidé d’aider son père à la mine, aider la famille à gagner plus d’argent et elle, elle avait également choisi d’aider sa famille dans le petit commerce dont ils s’occupaient. Ça leur était tombé dessus comme ça, sans qu’ils n’aient le temps de s’en rendre compte, les doux songes de l’enfance s’étaient envolés au profit d’une vie d’adulte bien plus réaliste. Il fallait travailler encore et encore. Ils n’avaient plus le temps de rêvasser dans un coin du district et ils étaient devenus trop vieux pour ça. C’était l’impression qu’il avait en tout cas. Il n’avait que vingt ans pourtant et déjà l’impression que ses jeunes années étaient très loin derrière lui. Il n’avait pas réalisé ses rêves et il ne les réaliserait jamais. Sa vie c’était la mine et il ne pouvait plus espérer mieux, il ne pouvait plus rêver bêtement. Il aurait bientôt une bouche de plus à nourrir et déjà, il aimait cet enfant. La chaire de sa chaire, valait mieux que les anciens songes d’enfance ne restent que des songes. Ce qu’il n’avait pas réussi à faire de sa vie, il ferait en sorte que cet enfant en soit capable. Il allait se battre pour qu’il puisse réaliser ses rêves. Ils allaient se battre. Ensemble, rien ne leur était impossible. C’était ce qu’ils avaient toujours dit et malgré les échecs auxquels ils avaient été confrontés, ils y croyaient encore. « Je n’ai pas mon mot à dire ? » Demanda-t-il en relevant les yeux vers la jeune femme. Elle haussa les épaules, lui adressa un large sourire avant de poser la main sur la sienne. « On verra. » Conclu-t-elle simplement serrant les doigts de son fiancé entre les siens. Ils n’étaient plus des gamins, ils n’avaient plus la tête pleine de rêve, mais, ils étaient heureux et c’était probablement – et de loin – le plus important.
« Elizabeth. » Un nom prononcé dans un murmure à peine audible, si bien que l’infirmière ne l’entendit pas, sourcil arqué, elle attendait toujours la réponse à sa question : quel était le prénom qu’il voulait donner à sa fille. Il tenait sans ses bras la petite fille, un petit bébé minuscule et il sentait les battements de son cœur s’accélérer, jamais il n’aurait pu se douter qu’un cœur pouvait battre aussi rapidement, il avait presque peur qu’il lâche. Il était pourtant hors de question qu’une telle chose n’arrive. Il ne pouvait pas mourir aujourd’hui. Ni un autre jour. Il avait une fille et il allait devoir s’en occuper. Comment ? La question s’imposa à lui alors qu’il continuait de regarder l’enfant qui agitait légèrement ses petits bras. Tout avait été possible tant qu’il avait encore Annie à ses côtés mais aujourd’hui, c’était différent. Elle n’était plus là à présent. Elle était morte en donnant vie à cette petite fille. Il était seul à présent et la responsabilité qui tombait sur ses seules épaules était pesante. Déjà des milliers de questions s’imposaient à son esprit et aucune ne trouvait de réponse. Il n’allait jamais y arriver. C’était l’impression qu’il avait alors qu’en un rien de temps tout lui semblait plus compliqué que jamais. Aussi loin qu’il se souvienne, il y avait toujours eu Annie à ses côtés. Elle avait été cette petite gamine avec qui il jouait quand il était enfant, elle avait été cette jeune fille avec qui il avait découvert l’amour et elle avait été cette femme avec laquelle il s’imaginait construire un avenir. Elle était toute sa vie et elle était morte à présent. Comment allait-il pouvoir aller de l’avant si elle n’était plus à ses côtés ? Comment allait-il pouvoir s’occuper d’un bébé sans elle ? C’était trop compliqué, mais il n’avait pas le choix et cette petite fille valait largement qu’il fasse tous les efforts du monde. Elle était déjà ravissante, tellement attendrissante. C’était sa fille et plus il la regardait plus il s’attachait à ce qu’elle était, à ce qu’elle représentait et à tout ce qu’elle pourrait devenir. Il allait lui construire un bel avenir. C’était une promesse qu’il lui faisait, il n’y aurait pas un jour où il aurait un autre but dans la vie que de rendre la sienne parfaite. Elle en valait la peine. Elle valait tous les sacrifices dont il pouvait être capable, elle valait bien plus que tout l’or du monde. C’était sa fille et déjà il savait qu’il n’y avait rien qu’il serait incapable de faire pour ses beaux yeux. L’infirmière laissa échapper un soupire impatient. Elle se fichait qu’il soit troublé par la présence de sa fille ou encore déprimé par la mort de sa petite amie. Elle avait du boulot et il lui faisait perdre son nom. Il releva la tête vers elle. « Elizabeth, elle s’appelle Elizabeth. » Cette fois, elle avait entendu et elle commença à remplir tout un tas de papiers. Si c’est une fille Elizabeth. C’était une fille alors c’était forcément Elizabeth.
« Beth, arrête de bouder et fini ton assiette. » Les bras croisés sur la poitrine, la petite fille baissa la tête en signe de mécontentement. Il laissa échapper un soupire. Il n’avait pas idée que ce serait si compliqué. Il aimait sa fille plus que tout au monde, mais il avait sans arrêt l’impression de ne pas être à la hauteur. Il faisait tous les efforts qu’il était humainement possible de faire pour qu’elle soit heureuse, mais elle ne s’en rendait pas compte. Souvent on lui disait que c’était parce qu’elle était jeune, qu’elle ne comprenait pas encore à quel point la vie pouvait être difficile. Elle comprendrait plus tard. Quand bien même il aurait les moyens de lui offrir absolument tout ce qu’elle voulait, elle trouverait toujours un moyen de faire la tête. C’était une enfant et il n’y avait rien qu’il puisse faire pour l’empêcher de bouder. « Je voulais un goupix. » Répliqua-t-elle, la tête toujours baissée. Il savait bien qu’elle voulait un goupix, mais même en vendant la maison – et ils seraient alors à la rue – il n’aurait jamais les moyens de lui offrir un goupix. Ce n’était pas qu’il ne voulait pas, c’était qu’il ne pouvait pas. Il se tuait déjà au travail, il était épuisé et il était physiquement impossible de faire plus d’heure qu’il n’en faisait déjà. Il n’y pouvait rien s’il était payé une misère alors qu’il bossait d’arrache pied pendant des heures pendant que d’autres gagnaient des millions en en glandant pas une. La vie était ce qu’elle était malheureusement. « Je sais, mais on a pas les moyens et puis Orion est très bien. » La petite fille laissa échapper un long soupire, baissant encore plus la tête. Orion n’était pas un goupix, mais c’était un pokémon et c’était mieux que rien. « Il est moche. » Bougonna-t-elle, arrachant aussitôt un soupire agacé à son père. Il était fatigué, il avait fait de son mieux pour acheter ce Flamajou et il n’avait pas envie de passer la nuit à se battre avec elle sur ce sujet. « Très bien. Je le rapporterai demain. Vas te coucher maintenant. » Elle releva légèrement les yeux vers son père, qui la fixait d’un air autoritaire. « J’ai dis maintenant, Beth ! » Grogna-t-il. Il n’haussait pas souvent le ton avec la jeune fille, mais quand il le faisait, elle savait qu’il était plus sage de ne pas résister. Non sans soupirer bruyamment, elle quitta sa chaise, laissant son assiette presque pleine sur la table avant de disparaitre jusqu’à sa chambre. Alaric s’occupa alors de la débarrasser et de faire la vaisselle avant de se laisser tomber lourdement dans le canapé, épuisé par la journée qu’il venait de passer. Devant la télé, il n’entendit pas sa fille qui venait de quitter sa chambre. « Papa ? » La petite voix derrière son dos ne le surpris pas le moins du monde, il avait l’habitude de la voir débarquer toute mignonne après une dispute. Elle s’avança vers lui alors qu’il la fixait un sourcil arqué suffisant à l’interroger sur ses intentions. « T’es en colère ? » Demanda-t-elle les larmes aux yeux. Il l’avait été sans doute, encore quelques minutes plus tôt, mais c’était fini maintenant. « Non, je ne suis pas en colère chérie. » A peine eut-il fini sa phrase qu’elle se précipita sur le canapé pour grimper sur ses genoux et se blottir contre lui. « Je suis désolée. Est-ce que je peux garder Orion ? » Levant la tête vers son père, ses grands yeux larmoyant si attendrissants qu’il aurait pu faire craquer n’importe qui, la petite fille semblait supplier son père du regard. Il lui adressa un sourire avant d’essuyer rapidement les quelques larmes qui coulaient sur les joues. « Bien-sûr que tu peux garder Orion. » Il n’avait de toute façon jamais eu l’intention de le rendre. Ça n’avait été qu’une menace en l’air, un moyen comme un autre de faire comprendre à sa fille que son comportement n’était pas acceptable. L’enfant vint se blottir dans ses bras, comme après chaque dispute qu’ils avaient. « Merci papa. » Il déposa un baiser sur son front. Il aurait vraiment voulu pouvoir lui offrir un goupix, il aurait tellement voulu que l’argent ne soit pas un souci pour eux, malheureusement, il avait grandit avec ce problème et il était forcé de constater qu’il en serait de même pour sa fille.
« On ne peut plus continuer à se voir. » Fixant la jeune femme, Alaric haussa un sourcil. Il ne comprenait pas ce qui lui prenait d’un coup. Ils se fréquentaient depuis presque un an et jusqu’à aujourd’hui, rien dans leur relation n’avait posé problème. Certes, ça n’avait pas été tous les jours facile, ils semblaient ne pas appartenir au même monde. Il était un pauvre mineur vivant dans les quartiers pauvres de la ville alors qu’elle faisait partie des plus riches, comme si ça ne suffisait pas, il aurait l’âge d’être son père. Leur relation, si elle venait à se savoir serait certainement très mauvaise pour sa réputation. Dans la sienne, il n’y avait rien à briser, il n’avait pas de réputation de toute façon. Ils s’étaient cachés à la vue du monde. Il l’avait rencontrée un jour où elle s’était perdue dans le district pashmilla, elle fuyait son quotidien et pour ça il aurait pu la détester. Pauvre petite fille, née avec une cuillère en argent dans la bouche, elle était forcément à plaindre. C’était ce qu’il pensait de bien des personnes vivant dans le luxe, mais elle, elle était différente. Elle, il l’aimait, malgré toutes leurs différences. Peut-être qu’elle se rendait compte qu’en vérité elle valait mieux que lui. N’était-ce pas le cas dans le fond ? Il n’était qu’un pauvre type parmi tant d’autre et elle, elle était une personne importante. Tout ce temps, ces histoires de classes avaient semblées être futiles dans ses propos, alors qu’est-ce qui pouvait justifier son abandon ? « Notre histoire, c’était stupide. Regarde-nous ! On ne pourra jamais être vraiment ensemble, je ne peux pas continuer comme ça. » Elle avait peut-être raison. Ils ne seraient jamais vraiment ensemble et cette histoire ne les menait nulle part. Mais il s’en fichait et hier encore, c’était pareil pour elle. Il l’avait cru en tout cas. « J’ai pris une décision. Je vais me marier. » Se marier ? Comme ça du jour au lendemain ? Elle lui montra la bague de fiançailles à son annulaire gauche, une bague qui devait couter plus chère encore qu’un mois entier de salaire pour lui. Il ne comprenait pas. Ils s’étaient vus quand pour la dernière fois ? La semaine dernière, peut-être celle d’avant, une poignée de jours en somme, comme tout avait pu changer à ce point dans sa vie en à peine quinze jours ? Fiancée. Elle disait pourtant qu’elle ne voulait pas vivre selon les codes et les volontés de ses parents, elle n’avait de cesse de revendiquer sa liberté et pourtant ses fiançailles sorties de nulle part, ça ne semblait pas refléter la liberté qu’elle enviait tant. « Qu’est-ce qui t’es arrivé ? » Il avait besoin de comprendre la laisser partir sans un mot était trop compliqué. Depuis Annie, elle était la première femme dont il tombait vraiment amoureux. Il avait déjà perdu Annie et son cœur meurtri avait mis des années avant de s’en remettre, il ne voulait pas la perdre elle aussi. Certainement pas au profit d’un autre type simplement parce qu’il avait plus de fric qu’elle. « J’ai compris mes erreurs. Toi et moi c’est juste impossible. On a essayé, on a vraiment essayé, mais c’est trop douloureux de savoir que nous sommes voués à n’être qu’un secret. J’ai besoin d’une vraie relation, un futur, des enfants ... » Et il n’était pas celui qui lui offrirait tout ça. Comment le pourrait-il ? Lui le pauvre minier, déjà grand-père ? Elle avait raison, mais il ne pouvait s’empêcher de ressentir une haine débordante se répandre dans ses veines. Contre elle ? Contre la société, il ne savait pas, mais s’il fallait choisir, il préférait la détester elle, c’était tout de suite beaucoup plus facile. « Très bien. J’espère que tu seras heureuse avec ton fiancé. » Il n’espérait rien. Il ne connaissait pas ce type, mais il le détestait déjà, il le maudissait pour lui avoir pris cette femme à laquelle il tenait plus que de raison. « Ric’ … » Il leva les yeux au ciel, il ne voulait pas aller plus loin dans cette discussion. « Laisse tomber, rentre chez, ton fiancé doit t’attendre. Peut-être avec des tonnes de bijoux qui sait ? » Elle leva les yeux au ciel. Au fond, l’argent n'était pas un problème, c’était plus compliqué que ça. Mais il avait l’impression que tout tournait toujours autour de ça. Il avait cette vie misérable, parsemée d’échec, jamais rien à offrir à personne. Elle soupira avant qu’il ne lui tourne le dos. Qu’importait où était vraiment la source du problème ; elle avait pris sa décision, alors qu’elle parte, ce serait mieux pour tout le monde. dresseur | Pseudo : sweet poison, anaïs. ● Age : 22ans ● Disponibilité : 5/7j en moyenne. ● Comment êtes-vous arrivé ici : par le gros chou, c'est carrément mieux que bazzart ou prd ● Suggestions : ras mon capitaine. ● PV/Scénario/Inventé : inventé. ● Avatar : norman reedus, l'homme de ma vie. |
Dernière édition par Alaric Moriarty le Lun 6 Avr - 1:07, édité 14 fois |
| | | Ariadni Jackson β ⚊ THE GILDED HANDS
POKEMONS RENCONTRÉS : 534 AVATAR : Evangeline Lilly DOUBLE-COMPTES : James D. Baltar AGE : 35 ans SENTIMENTS : Lasse, mélancolique et blasée. HABITATION : Le Colisée
| Sujet: Re: (alaric) ›› this could be the last mistake. Dim 5 Avr - 19:05 | |
| Bienvenue Alaric ! (j'adore le choix de prénom ! ) Si tu as des questions n'hésite pas à contacter le staff ! Bon courage pour la suite de ta fiche, j'ai hâte de voir ce que tu nous prépare... |
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| Sujet: Re: (alaric) ›› this could be the last mistake. Dim 5 Avr - 19:06 | |
| Merci beaucoup je n'hésiterai pas |
| | | Adélaïde O'Reilly α ⚊ THE BLIND BATS
POKEMONS RENCONTRÉS : 230 AVATAR : holland roden AGE : 30 ans, elle se fait vieille. SENTIMENTS : enflammée HABITATION : district diancie, comme presque toute l'élite.
| Sujet: Re: (alaric) ›› this could be the last mistake. Dim 5 Avr - 19:11 | |
| bienvenue parmi nous ton pseudo me dit trop un truc, j'ai l'impression de t'avoir croisé quelque part anyway, bon courage pour la suite de ta fiche |
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| Sujet: Re: (alaric) ›› this could be the last mistake. Dim 5 Avr - 19:13 | |
| HOLLAND Merci beaucoup Possible qu'on se soit déjà croisées vu que je suis toujours sur plein de forums encore merci |
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| Sujet: Re: (alaric) ›› this could be the last mistake. Dim 5 Avr - 19:21 | |
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| Sujet: Re: (alaric) ›› this could be the last mistake. Dim 5 Avr - 19:24 | |
| COUCOU TOI je dirais même plus, je le déteste de tout mon être, mais pour toi je ferais des efforts, c'est promis |
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| Sujet: Re: (alaric) ›› this could be the last mistake. Dim 5 Avr - 19:40 | |
| GRANT Ton choix est également parfait Merci pour l’accueil |
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| Sujet: Re: (alaric) ›› this could be the last mistake. Dim 5 Avr - 19:52 | |
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| Sujet: Re: (alaric) ›› this could be the last mistake. Dim 5 Avr - 19:58 | |
| MA GAMINE T'ES TROP BELLE Je t'aime aussi mon gros chou (il y a une première fois à tout mon gros chou ) |
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| Sujet: Re: (alaric) ›› this could be the last mistake. Dim 5 Avr - 21:20 | |
| JENNA JE T'ADULE AUSSI, CETTE FILLE C'EST LA PERFECTION, TU GÈRES GRAAAAVE Merci beaucoup |
| | | Nox J. Holmson α ⚊ THE BLIND BATS
POKEMONS RENCONTRÉS : 214 AVATAR : jamie dornan TO DO LIST
Manger végétalien avec Pippa ● Se rendre dans le district de pashmilla pour aider les plus démunis ● Trouver un Arbok et en récolté le venin ● Acheter des fleurs pour elle ● Trouver le temps pour les cours de yoga ● M'inscrire à quelques combats au Colisée ● Demander aux domestiques de repeindre le salon ● Lui dire que je l'aime, en même temps que lui donner les fleurs. AGE : 31 y.-o. SENTIMENTS : calme et amoureux HABITATION : district diancie
| Sujet: Re: (alaric) ›› this could be the last mistake. Lun 6 Avr - 5:31 | |
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| Sujet: Re: (alaric) ›› this could be the last mistake. Lun 6 Avr - 12:21 | |
| Merci beaucoup Je m'occupe de tout ça Je pense ne donner que 7 niveaux à mon salamèche du coup |
| | | Cain A. Williams α ⚊ THE BLIND BATS
POKEMONS RENCONTRÉS : 391 AVATAR : Ed Harris ANCIENNEMENT GREYSON B. WILLIAMS AGE : 60ans SENTIMENTS : Fatigué physiquement et psychologiquement. HABITATION : Dans le district Diancie. Localisation : Le district Diancie.
| Sujet: Re: (alaric) ›› this could be the last mistake. Mar 7 Avr - 18:01 | |
| Bienvenue dans le coin !! Même si j'arrive après la bataille >_< !! |
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| Sujet: Re: (alaric) ›› this could be the last mistake. | |
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| | | | (alaric) ›› this could be the last mistake. | |
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