Lorenzo Fitzgerald β ⚊ THE GILDED HANDS
POKEMONS RENCONTRÉS : 10 AVATAR : Harry Lloyd AGE : 27 ans SENTIMENTS : ça se mange?
| Sujet: Love till you hate Strong till you break Sam 21 Mar - 21:49 | |
| Lorenzo Fitzgerald .feat Harry Lloyd « Where is my moter open arms?» | Nom : Fitzgerald ● Prénom : Lorenzo ● Age : 27ans. ● Niveau de vie : haute société ● Occupation : Chef dans une (petite) division d'investigation spécialisée dans les crimes en série. Son travail consiste tout autant à résoudre ces affaires qu'à les cacher, les maquiller. Non non messiers-dames, les réglements de compte entre racailles existent, pas les tueurs en série voyons... Inutile de dire qu'il en est le seul membre. D'ailleurs cette occupation est plutôt officieuse, tolérée à partir du moment où cela reste en accord avec le Gouvernement et où il ne néglige pas son autre poste, celui aux Archives. Comme ça il est tranquille, il obéit et leur fout la paix ● Lieu de résidence : Persian. ● Statut : Célibataire ● Orientation Sexuelle : Hetero. ● Groupe : I Thrive Caractère ● Intelligent ● Froid ● Courageux ● Hautain ● Logique/stratégique ● Solitaire ● Fort sens du sacrifice ● Violent ● Secret ● Blasé ● Dans quel camp se range votre personnage et pourquoi ? Contre le gouvernement, sérieux pourquoi faire? Il y a des colères sans lendemains, des révoltes qui ne proposent rien. A l'écart des autres, Lorenzo est un solitaire, un paria. A la volonté du peuple? Tu parles, allez vous faire foutre, oui... Lui, il bosse pour le gouvernement, n'en reçoit aucune récompense mais le fait quand même. Parfois il faut accepter d'être le méchant, c'est tout, et tant pis pour le regard des autres, les morts qu'on veut vous mettre sur la conscience... Parce que sans les crevards, les gars, vous le construiriez comment votre idéalisme ? Et vous le différencieriez comment le bien du mal, hein? Lui il fait le bien, sauf qu'il faut coller au régime, alors il fait le mal aussi. Condamnez-le, crachez-lui dessus, certain maux sont nécessaires et Lorenzo en est un. Comment votre personnage se perçoit-il lui-même, quelle est son opinion de lui-même ? Comment les autres perçoivent-ils votre personnage ? Lorenzo, c'est cette personne qu'on ne comprend pas. Alors pour les autres bien sûr, il inquiète un peu. Il inquiète beaucoup, même... et alors? Silencieux, secret, lorsqu'il vous regarde cela vous donne mauvaise conscience. Aussitôt on a envie de s'accuser de tous les crimes commis sur les cinquante dernières années, c'est agaçant. Lui-même, il ne se considère pas. Froid, étranger à ses propres sentiments, spectateur de tout y compris de lui-même. Il ne s'aime pas, il ne se déteste pas, non... Lorenzo s'indiffère, voilà tout. Un cœur, il sait qu'il en a un, mais pas construit comme les autres, pas vraiment. Lorenzo le sait, Lorenzo l'accepte, et là où il posera ses pas, toujours il sera Etranger. Quelle est la chose dont votre personnage a le plus honte ou sa plus grande peur ? Sa peur, c'est le cœur humain. Parce que cet organe, celui qu'on dit siège de tous les sentiments, hé bien il marche pas. Chez lui bien sûr, chez les autres surtout. Quand vous vous levez à quatre heure du matin pour enquêter sur une femme que l'on a étripé comme ça, sans raison, par simple folie...c'est pas normal. Des choses comme ça ne devraient pas exister, des choses comme ça, on les cache. Parce que ça ne s'explique pas. Tuer une épouse, un fils ou un ami, cela arrive. Misère humaine, misère de sentiments, et le cœur bat quand même parce que ce n'est pas le vide, juste de la passion. Les tueurs sur lesquels il enquête, ce n'est que ça: le vide. Alors Lorenzo craint leurs cœurs à eux, craint son cœur à lui. Quels sont ses rêves, ses motivations, ses buts ? Arrêter les tueurs qu'il s'est juré de traquer. Les pires, les fous, les inhumains... Les traquer pour lui, ne pas en devenir hein. Parce que naître avec un cœur, pas totalement vrai, juste un peu faux, c'est le risque de se laisser aller à la voie du couteau. Arrêter les monstres, lui l'esseulé, le marginal, arrêter les monstres pour ne pas craindre son reflet dans le miroir. Il n'a pas d'autre rêve que cela... Nous vous invitons à ne partir que sur les bases non-évoluées puisque nous vous donnerons les niveaux à répartir qu'une fois validé. Vous pourrez éditer après votre validation. Malosse ● CosmeD'un caractère spécial, comme son maître, Cosme est enclin aux sautes d'humeur. Il reconnaît Lorenzo comme un dominant, mais aime bien se montrer bavard pour montrer que lui aussi a une voix et que s'il obéit, ce n'est pas en silence. Pas le compagnon idéal pour une mission dicrète. Medhyèna ● LeonardJeune, Leonard en est encore à tester les limites de son dresseur et ne voit aucun problème au fait de lui mordiller ses bas de pantalon. Il n'a pas encore de caractère profondément défini, trop jeune pour cela, mais l'on sent malgré tout déjà un côté pile électrique que Lorenzo aura à maîtriser s'il veut pleinement utiliser son pokemon. POKEMON ● NOMDescription de votre pokémon. |
histoire Portes qui claquent et rires masqués, une mélodie ordinaire. Certain ici avaient l'illusion d'être indispensables, pas Lorenzo. Oh, on ne le faisait pas passer pour l'idiot du village, évidemment, il avait les yeux un peu trop noirs pour ça, un peu trop effrayants, mais vous voyez le principe. Un homme parano, bon dans son métier bien sûr, mais faut pas l'écouter réfléchir, c'est tout.
D'après certains, c'est sa mère. Il l'adorait, le gosse. Comme tous les mômes, quoi. A huit ans, on reste dans l'Oedipe tardif, mais l'amour du moment que ça reste en famille hein....Bref, il s'est jamais remis de son suicide. Une sale histoire comme disent les vieux de la vieille, ceux qui étaient là, qui ont vu le corps et classé l'affaire. Ceux qui ont récupéré le gamin prostré parce que c'est lui, oui lui qui l'avait découvert comme ça, gorge tranchée. Parfois ils en rigolent entre eux mais sans joie, plutôt pour pas montrer qu'en fait ils font dans leur froc : « On aurait su que le môme serait aussi lugubre que ça plus tard, on l'aurait coffré. Heureusement, on est pour la Justice, on fait bien notre boulot Haha...Hahaha.... La gonzesse, elle s'était bien charcutée, aucun doute ! Une mère tarée ça donne un gosse taré, et puis pas de père en plus vous imaginez ? » Et puis ils se radoucissent, parce que la fraternité, ça existe quand même encore un peu : « Bon il est bizarre, mais il grandit bien le môme. On plaisante, on plaisante... N'empêche que malgré le fric de son oncle, il a rejoint nos rangs. Après c'est un petit con, et c'est pas cool de le croiser dans le noir...Mais peut-être qu'il a été bercé trop près du mur hein ? Au moins il nous fait rire avec ses histoires, ses complots. Tuer les gens pour le fun ? Tu parles, même dans les romans t'y crois pas, alors la vraie vie... Les tueurs en série, c'est des légendes urbaines : i n'y a que des jeunes comme lui pour y croire. Et encore, des jeunes cons...»
Sa mère, sa maman, lui il s'en souvenait bien. Elle portait du parfum, de jolis habits, et puis elle avait une grâce spéciale, vous voyez ? Parce qu'elle était pas vraiment comme lui, comme son père dont il se rappelait peu, parti trop tôt avec une quelconque maladie. Elle riait souvent : « je n'ai pas le cerveau à la même place que vous, mon chou ». C'était vrai, elle était gauchère. Lui, il le savait et les autres s'en foutaient. Le couteau, l'arme du crime, on l'avait tenu de la main droite. Ca aurait du être un indice normalement, ouais... Comme les traces de liens sur les poignets avec les hématomes bleus et violets, façon armée de spectrums en folie.
Un suicide, bien sûr.
« Ouais mon petit père, c'est triste pour ta maman mais c'est comme ça. Elle s'est ouvert la gorge, tu vous ? Schlac ! Un coup sec et hop, et puis évidemment elle est tombée, là contre le meuble de la cuisine, pour ça qu'il y a des bleus »
Le meuble de la cuisine était à cinq mètres.
« Un regrettable accident, ton oncle est prévenu il va s'occuper de toi. T'auras même pas à changer de quartier sale petit enf...mon petit père. Elle est cool ta vie, hein ? »
Ouais, une vie d'orphelin. Méga cool, l'éclate totale... Bref, voilà pour l'enfance. Avec son oncle, ça allait même si lui il voulait jamais parler de sa frangine, façon « hein quoi ? Non j'ai jamais eu de sœur et toi non plus t'as jamais eu de mère ». Les vieux hein, faut pas trop leur en demander. Alors évidemment niveau développement psychologique, Lorenzo passa par la case « je veux faire justice moi-mêêêêême », dit avec une voix d'adolescent en pleine mue et ce, alors qu'ils dégustaient la soupe du soir (sauf que quand on a de l'argent on ne dit pas soupe, mais velouté). Son oncle, après un shlurp distingué (riche, on est toujours distingué), lui lança au visage des papiers concernant la Garde.
Ah bon, il n'y avait pas que des vieux alcooliques dedans ? Ado en guerre, Lorenzo s'imaginait que toute personne ayant passée vingt ans était nulle et alcoolique. Goguenard, son oncle lui conseilla malgré tout de commencer la musculation. Bon, deux pompes par jour, ça serait suffisant non ? Sauf le week end. Le week end, c'est repos quoi !
Douze ans, des révoltes et des espoirs. Pour l'oncle, c'était désespoir tout court mais bon, il l'aimait bien quand même son neveu. Être abruti, ça arrive à tout le monde, fallait pas lui en vouloir. Ce gamin, bête, il voulait l'être. C'était comme un truc, un talisman pour avoir le droit encore un peu d'être un enfant et pour quiconque s'en rendait compte...ça faisait mal au cœur.
Petit à petit, il se renfermait. Les choses gagnaient en sérieux, les cauchemars revenaient, les névroses aussi. Sauf qu'il avait pas le droit d'en parler, les images d'une mère assassinée ou bien la lueur d'un couteau. Il ne souriait plus, se contentant de s'exercer physiquement de plus en plus, même le week end. Il ne parlait plus non plus, plus vraiment. Avec son propre argent de poche, il s'acheta un premier pokemon, un malosse.
Une fois l'âge requis, Lorenzo postula pour la Garde. Les épreuves étaient dures même malgré son entraînement enfantin. Il les réussit, pas meilleur qu'un autre, pas pire non plus. Membre de l'Unité de Surveillance, ayant accès aux archives, très tôt Lorenzo voulu monter qu'un autre type de crimes était possible : les crimes en série. Bien sûr on lui rit au nez, le considérant comme l'original du groupe. Cependant l'influence de son oncle, homme riche après tout, le fait que le jeune homme ne réprouvait pas le gouvernement mais souhaitait juste qu'on l'écoute sur ses lubies, firent qu'on le conserva à son poste. Avec ses supérieurs, Lorenzo conclu un deal : s'il acceptait la perspective de ne jamais avoir d'augmentation, on lui laisserait mener une division fantôme non reconnue à propos des crimes en série. Il ne serait pas payé plus et devrait toujours privilégier les archives. Qui plus est, si de tels crimes inhumains venaient à être commis, alors son rôle serait de les élucider, mais surtout de les maquiller en continuant les illusions du gouvernement. Il accepta, ses idéaux de justices appartenaient à l'adolescence, au final restait un fort désir de voyeurisme ainsi qu'une peur de lui-même qu'il ne pouvait résoudre. Il y a des rumeurs sur lui, le gars bizarre des archives, il fait pitié bien sûr, on l'aime bien quand même au moins un peu, et alors ? Pour fêter ça, il s'offrit son second pokémon avec la petite ristourne donnée à la Garde, histoire de.
Le meurtre de sa mère ? Oh bien sûr Lorenzo rouvrit l'enquête pour lui-même. Veuve depuis quelques années, elle avait eut un amant, un de la haute, quand même. Ils se voyaient toujours sans la présence de l'enfant, une dispute avait mal tournée et voilà. Rien de plus. Mieux valait ne pas se prendre la tête avec un procès, les femmes seules et sans mari parfois ça pétait les plombs, un suicide et on en parle plus.
Maintenant sur elle, Lorenzo connaissait la vérité.
Cela ne lui faisait ni chaud ni froid. dresseur | Pseudo : Nephtys ● Age : une vingtaine d'années ● Disponibilité : 5j/7● Comment êtes-vous arrivé ici : Par bazzart ● Suggestions : Avez-vous quelque chose à nous dire ? ● PV/Scénario/Inventé : Inventé ● Avatar : Harry Lloyd |
©sparkle
Dernière édition par Lorenzo Fitzgerald le Mer 25 Mar - 15:30, édité 2 fois |
|